Samedi soir à la salle du Trésoncle les jeunes des classes en 4 et 5 attaquaient les festivités en vue de leur participation à la fête des classes en 2. Car si cette coutume des balais et biberons se perds dans nombre de communes, elle est particulièrement tenace et dynamique à Savigny.
La troupe des Echappés récidivent dans le rire pour grand plaisir des spectateurs. Ce week trois représentations se sont déroulées à la salle du petit Théâtre. En première partie, Les Vacances, une pièce de jean Claude Grimbert, a fait découvrir au public le visage des français en vacances.
Leur année est pourtant finie, et les 2, histoire de ne pas perdre la main, continuent de faire la fête. Samedi soir le groupe des irréductibles, entendez par-là les membres du bureau, et tous ceux qui n’ont pas compté leurs heures pour organiser les manifestations de 2002, s’étaient réunis au Colvert à Bibost autour d’une grande table.
La plus jeune se prénomme Sohane, elle est née le 21 novembre dernier, le plus « vieille » s’appelle Charlotte, elle a vu le jour le 15 février 2002. Les classes en deux auront réussi un beau tour de force, l’année dernière ils avaient commencé les festivités le 2 février 2002, et ils comptent désormais 22 bébés nés en 2002.
Samedi matin l’ASLEC ( association savignoise loisirs et culture ) avait convié les gagnants de son loto pour la remise des prix. 4295 cartons avaient trouvé preneur, preuve si besoin est que le loto est un jeu qui passionne bien des personnes qui aiment à s’y adonner.
Mardi matin, les élèves de cycle 3 de la classe d’Irène Rulliat de l’école st Martin, étaient sensibilisés au tri des déchets et plus généralement sur l’importance de ce tri pour l’avenir. Cette animation était présentée par la FRAPNA ( fédération rhône alpes de la protection de la nature) et financé avec l’aide de la CCPA.
Dimanche les accros du rock se sont donnés rendez-vous à la petite salle des fêtes pour le stage rock organisé chaque année par la Section Danse Savignoise. Pas un moment de répits pour les danseuses et danseurs, le professeur Fabien, un danseur professionnel de Lyon
Céline Gacon, 23 ans, est devenue une passionnée de photo. Pourtant rien ne la prédisposait à se lancer dans ce milieu professionnel. Enfant, elle était comme beaucoup, à prendre quelques photos avec un appareil jetable pour s’amuser. Et puis vers ses 17 ans elle part en Inde pendant 3 semaines en voyage scolaire, là encore elle emmène quelques jetables.
Samedi durant toute la journée les pompiers avaient ouvert la caserne au public à l’occasion d’une journée portes ouvertes. Les savignois sont venus nombreux pour découvrir de plus prés les engins, les locaux, le matériel, et tout naturellement les pompiers.
Ca y est, après les incertitudes, la fatigue, les problèmes mécaniques, Didier et Sébastien ont réussi à aller jusqu’au bout. Faire le Dakar c’est une aventure, s’y inscrire c’est un défi financier, aller jusqu’au bout c’est un exploit.
